Philosophie de l’Art Royal

De Michel Weber, les Editions de Chromatika, 2015.
michel weber l'art royalOn propose ici une ellipse philosophique définie par les deux foyers de l’Art Royal : l’Alchimie et la Franc-Maçonnerie. Ces trois territoires seront de plus recoupés par la psychologie analytique de Jung. Au nombre de nos conclusions, on trouve les thèses suivantes : primo, le Philosophe est l’héritier d’une tradition ascétique et gnostique ; secundo, l’Adepte n’a rien du chercheur d’or et tout du mystique travaillant à sa propre transfiguration ; tertio, l’Initié peut se réclamer de cette filiation philosophico-alchimique qui traverse les œuvres de Pythagore, Platon et Albert le Grand ; quarto, l’Analyste endosse, avec les contradictions qui sont propres à une discipline toujours en quête de notoriété scientifique, ce même héritage.amazon-premium

 

Publié par Bruno Traversi

Bruno Traversi - Docteur en philosophie des Sciences de l'Université de Paris. Chercheur associé à l'Institut Sciences Sport Santé de Paris de l'Université de Paris et au CEAC (Centre d'Etude des Arts Contemporains) de Lille3. Diplômé de l'Aikikai de Tokyo. Président de l'Institut de Psychologie Analytique et d'Hypnose.

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